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Par PRALINES1 le 30 Avril 2010 à 14:57
Histoire triste de chien
Quand j'étais un chiot, je t'ai amusé avec mes cabrioles et t'ai fait rire. Tu m'as appelé ton enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu ton meilleur ami. Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais ” Comment est-ce possible ? “, mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que tu étais terriblement occupé, mais nous y avons travaillé ensemble. Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que ” la glace est mauvaise pour les chiens, ” comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et à te concentrer sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain. Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirement de coeur et chaque déception, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer.
Et puis tu es tombé amoureux. Elle, maintenant ta femme, n'est pas une “personne chien “, mais je l'ai accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation. J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi. Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un “prisonnier de l'amour “.Comme ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez. J'aimais tout d'eux et leurs caresses - parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes - et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée. Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien, tu leur montrais une photo de moi dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos. Ces dernières années tu répondais juste ” oui ” et changeais de sujet. Je suis passé du statut de ” ton chien” à ” seulement un chien, ” et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers. Tu as fait le bon choix pour ta ” famille”, mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli la paperasserie et as dit : ” Je sais que vous trouverez une bonne maison pour elle.” Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé. Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec “des papiers.” Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il a crié ” Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien !” Et je me suis inquiété pour lui. Quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie ? Tu m'as donné un ” au revoir caresse” sur la tête, as évité mes yeux, et as refusé de prendre mon collier avec vous.
Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et que vous n'aviez rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secoué la tête et ont dit : ” Comment est-ce possible ?”.
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés le leur permettent. Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours. Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve… ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et j'ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et j'ai trottiné le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée. Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter. Mon coeur battait d'appréhension à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le “prisonnier de l'amour” avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plutôt inquiété pour elle. Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connaissais votre humeur chaque jour. Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années. Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine. Quand j'ai senti la piqûre et le liquide se répandre à travers mon corps, je me suis assoupie, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré : ” Comment as-tu pu ?”. Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit ” je suis si désolée.” Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'allais à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, où j'aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différent de cet endroit. Et avec mes dernières forces, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon ” Comment as-tu pu ?” n'était pas dirigé contre elle. C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté.En hommage à tous les animaux abandonnés dans les refuges pour des raisons diverses et variées ...
4 commentaires -
Par PRALINES1 le 30 Avril 2010 à 14:24
Plus de 2000 kilomètres séparent Albuquerque, la ville du Nouveau mexique où vit Robin Alex, et Chicago : une distance qu'a néanmoins parcourue son chat.
Voilà huit mois que la maîtresse de Charles avait laissé son animal de compagnie chez un ami, le temps d'une mission de bénévolat à la Nouvelle-Orléans.
Mais son séjour fût marqué par la disparition de son chat, apprise sur place.
Profondément attristée, cette nouvelle l'a laissée malgré tout impuissante. Jusqu'à ce que les services de soins animaliers de la ville de Chicago contactent Robin Alex pour lui annoncer que Charles, en bonne santé, se trouvait à plus de 2000 kilomètres de chez elle.
Identifié grâce à sa puce électronique, le chat n'avait plus qu'à attendre un léger soin pour être enfin rapatrié auprès de sa maîtresse.
Or, celle-ci s'est trouvée bien en peine à l'idée de devoir payer le trajet de 2000 kilomètres à son animal.
Touché par cette histoire qui a fait le tour du web, Lucien Sims, habitant du Nouveau Mexique, a pris les choses en mains pour que l'animal ne soit pas euthanasié (les services vétérinaires ne pouvant garder l'animal) : il a profité de se rendre à Chicago pour un mariage pour reprendre l'animal.
Il a même obtenu de la compagnie aérienne que le transport de Charles soit offert, au même titre que la caisse de voyage de l'animal.
http://fr.news.yahoo.com/55/20100426/tod-charles-le-chat-qui-parcourt-plus-de-17baed7_3.html
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Par PRALINES1 le 30 Avril 2010 à 14:21
L’histoire se passe dans le quartier de Brooklyn à New York en 1996.
Alors qu’un feu fait rage dans une maison, Scarlett une chatte errante, a été aperçue alors qu’elle allait chercher ses chatons un par un dans la maison en flammes pour les sortir du brasier.
Elle a été sévèrement brulée puis aveuglée, mais elle ne s’est pas arrêtée avant de s’assurer que tous ses chatons étaient sortis et saufs.
Elle s’est évanouie avant qu’un pompier ne l’emmène, elle et ses chatons, dans une clinique vétérinaire.
7000 demandes d’adoptions ont été reçues pour Scarlett et ses petits ; la sélection de la famille fut donc rude.
Aujourd’hui complètement rétablie, Scarlett fait l’objet d’un livre, Scarlett Saves her Family, et un prix a été créé en son nom : le Scarlett Award de l’héroïsme animal.
C’est avec ce genre d’histoires que le vieil adage selon lequel les animaux font parfois preuve de plus d’humanité que l’Homme se vérifie.
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Par PRALINES1 le 21 Novembre 2009 à 17:04
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Par PRALINES1 le 21 Novembre 2009 à 16:59Une belle histoireEn 2003, des policiers anglais trouvèrent dans un abri de jardin un chien apeuré qui avait été enfermé et abandonné. Il était sale, affamé, et avait manifestement été maltraité. Les policiers emmenèrent le chien, un lévrier femelle, dans un refuge près de là. Le personnel du refuge travailla à restaurer la santé et la confiance du chien. Cela prit plusieurs semaines, mais finalement le but fut atteint. Ils l'appelèrent Jasmine, et s'inquiétèrent alors de lui trouver une famille adoptive.
Mais Jasmine avait d'autres plans. Personne ne se souvient comment cela a commencé, mais elle se mit à accueillir tous les animaux qui arrivaient au refuge. Peu importe si c'était un chiot, un renard, un lapin ou un autre animal perdu ou blessé, Jasmine allait vers la cage, et autant que possible, donnait un coup de langue de bienvenue.
Nous avions deux chiots qui avaient été abandonnés près d'une ligne de chemin de fer. L'un était un croisement Lakeland terrier et l'autre un croisement Jack Russel Doberman. Ils étaient minuscules lorsqu'ils sont arrivés et Jasmine s'est approchée, a pris l'un d'eux par la peau du cou et l'a amené sur le canapé. Ensuite, elle est allée chercher l'autre, puis elle s'est installée avec eux et les a couvés. Mais elle est comme ça avec tous nos animaux, même les lapins. Elle enlève leur stress et les aide non seulement à se sentir proches d'elle, mais aussi à s'adapter à leur nouvel environnement.
Elle a fait la même chose avec les bébés renards et blaireau, elle lèche les lapins et les cochons d'Inde et laisse même les oiseaux se percher sur son nez.
Jasmine, timide et maltraitée, est devenue la mère subrogée du refuge, un rôle pour lequel elle était née. La liste des jeunes animaux orphelins et abandonnés dont elle s'est occupée inclut cinq renardeaux, quatre petits blaireaux, quinze poussins, huit cochons d'Inde, deux chiots et quinze lapins. Ainsi qu'un faon. Le minuscule Bramble fut trouvé à demi conscient dans un champ. Il n'avait que onze semaines. À son arrivée au refuge, Jasmine l'a couvé pour le tenir au chaud et a joué le rôle de la mère.. Jasmine le lévrier couvre Bramble le faon d'affection et veille sur lui.
Ils sont inséparables. Bramble marche entre ses pattes et ils n'arrêtent pas de s'embrasser. Ils font le tour du refuge ensemble. C'est vraiment beau de les voir ensemble.
Jasmine continuera à s'occuper de Bramble jusqu'à ce qu'il soit assez âgé pour retourner vers la vie sauvage. Lorsque cela arrivera, Jasmine ne sera pas seule. Elle sera trop occupée à donner toute son affection et tout son amour à un autre orphelin ou victime de maltraitance.
De gauche à droite, Toby, croisement Lakeland errant; Bramble, faon orphelin; Buster, croisement Jack Russel errant; un lapin abandonné; Sky, une chouette de ferme blessée; et Jasmine avec son coeur de mère qui fait ce qu'une mère aimante fait de mieux !
source:http://domi1963.skyrock.com/
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Par PRALINES1 le 21 Novembre 2009 à 00:17<div-container></div-container> <div-container></div-container>
Belle histoire : Belle sauve son maître
<div-container></div-container> <div-container></div-container>Elle appelle les urgences pour sauver son maître
Kevin Weaver est diabétique et décide d'habiter avec Belle, sa chienne Beagle de 2 ans.
Au départ, Belle ne lui servait qu'à lui tenir compagnie. Un jour, Kevin découvre une association située à Atlanta, qui propose un programme de dressage pour chien, pour aider les diabétiques. Il décide d'y amener Belle.
Celle-ci apprend à détecter un taux de sucre trop élevé dans le sang de son maître,à le prévenir avant l'hypoglycémie et même à prévenir les secours !
C'est ce que Belle est parvenue à faire le 7 Février dernier, quand son maître eu un malaise cardiaque.
«Je suis convaincu que si Belle n'avait pas été là ce matin là, je ne serais plus en vie aujourd'hui»confie Kevin. Belle, constatant que son maître avait perdu connaissance, avait appuyé sur la touche 9 du téléphone.
Comme le numéro des secours est ainsi préprogrammé, une ambulance arrivait au domicile de Kévin quelques minutes plus tard...
(source http://www.30millionsdamis.fr)
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