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<div-container></div-container>Les dangers pour les baleines :
* Responsabilité humaine : La pollution chimique (pesticide, PVB) et acoustique (bruit de navire, plates-formes pétrolières, explosions), les collisions avec les bateaux, les filets dérivants.
Très récemment des chercheurs ont observés une nouvelle maladie chez les petits organismes due à la pollution chimique.
Ces petits organismes constituant le plancton sont donc la base de la chaîne alimentaire sous marine, et cette maladie est donc capable de toucher toute la chaîne !
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* La chasse baleinière:
C'est au milieu du XIX siècle que débutent les grands massacres des cétacés.
Les progrès techniques , harpons explosifs, bateaux plus rapides, air comprimé pour gonfler les carcasses, navires usines, ont, en l'espace de 50 ans, permis de tuer plus d'un million de cachalots, un demi million de rorquals communs, 350 000 baleines bleues, 250 000 baleines à bosse.
Deux millions de baleines ont été tuées dans l'Océan Austral.
Aujourd'hui, l'Océan Indien est un sanctuaire pour les cétacés et toute action visant à leur nuire y est formellement interdite. De plus, depuis 1966, la loi interdit de chasser la baleine à bosse. Depuis le 7 décembre 1994, sur l'initiative de la France, l'Océan Antarctique a également été décrété, sanctuaire baleinier. La mise en place de ce sanctuaire (50 millions de km autour de l'Antarctique) a été d'une importance capitale pour le rétablissement des populations de baleines.
Cependant, malgré les victoires remportées sur la chasse commerciales, la plupart des populations de cétacés restent toujours en danger. Malgré l'entrée en vigueur du moratoire en 1985-1986, le Japon, la Norvège, la Corée du Sud ont continués le massacre des cétacés à des fins « scientifiques ». En fait, ces recherches pseudo-scientifiques cachent clairement des intentions d'exploitations commerciales de la viande. Au mépris de l'opinion internationale, le Japon continue de traquer même depuis 2000 à l'intérieur de la zone protégée du sanctuaire de l'Antarctique
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Aujourd'hui il reste pour la plupart des espèces 5 à 10 % de la population originelle.
Pour certains grands mammifères marins, il est sans doute déjà trop tard !
La seule alternative sérieuse pour lutter efficacement contre cette extermination est de développer un secteur économique autour de l'observation scientifique et touristique des baleines.
Ces activités respectueuses des cétacés permettront ainsi de créer une mobilisation forte autour d'un secteur économique qui aujourd'hui est en plein essor